| Molière - 1667 - 816 Seiten
...à répandre , Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebalire Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre î MADAME PERNELLE. Mon Dieu... | |
| Molière - 1852 - 620 Seiten
...imprimée en 1GIG. Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. (','est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebaltre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu!... | |
| 1853 - 494 Seiten
...пшЬПфег SBeife antwortet fie auf bie Betreuerungen i^reô jut 6т(1ф1 gefommenen UJÎanneê: Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu Ce qu'on appelle vu, mit allgemeinen, îaum bafyin gehörigen 9iebenôarten unb пшф! fort» ttàfyrenb, um nur п(ф!... | |
| Molière - 1854 - 756 Seiten
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. OEGON. C'est tenir un propos de sens l'air d'un manteau , Ou des beautésd'un point, ou d'un brocartnouvcau. BÉLISB. Il fau Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PEBNELLE. Mon Dieu!... | |
| Molière - 1855 - 430 Seiten
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. OROON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELI.E. Mon Dieu... | |
| Prosper Poitevin - 1856 - 570 Seiten
...ouvrage ? (P.-L. Courier.) J'ai grandi arec ces jeunes personnes et je les AI VUES grandir. (Lamartine.) Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? (Molière.) Cela changera,... | |
| Prosper Poitevin - 1856 - 526 Seiten
...ouvrage? (P.-L. Courier.) J'ai grandi acte ces jeunes personnes et je les AI VUES grandir. (Lamartine.) Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? (Molière.) Cela cliantje.ra,... | |
| Prosper Poitevin - 1856 - 554 Seiten
...ouvrage ? (P.-L. Courier.) J'ai grandi avec ces jeunes personnes et je les AI VUES grandir. (Lamartine.) Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle uU. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? (Molière.) Cela changera,... | |
| Molière - 1857 - 776 Seiten
...à répandre , Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. OBGON. C'est leihr un propos de sens auvé est celui qui vous parje. Faut-il vous le rebattre Auxoreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PEBNELLE. Mon Dieu! le... | |
| LUDWIC HERRIC - 1860 - 494 Seiten
...Ces obligeants diseurs d'inutiles paroles. La répétition du même mot n'est pas répiéhensible. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Mol. Le Tart. V, 3. Cromwell de ce clinquant veut s'entourer encor. Quand je dis ce clinquant, c'est... | |
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