 | Augustin Pellissier - 1875 - 148 Seiten
...changer les mots ou la construction, c'est détruire la ligure. Ainsi, à la place de la répétition : Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu.... Mettez simplement : je l'ai vu ; il n'ya plus de répétition, il n'ya plus de figure. De même, au... | |
 | Molière - 1878 - 504 Seiten
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu... | |
 | Molière - 1878 - 600 Seiten
...n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. 1675 Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu : faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu,... | |
 | University of Oxford - 1879 - 414 Seiten
...n'est ici-bas qui s'en puisse defendre. Orgon. C'est tenir un propos de sens bien depourvu. Je Tai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? Madame Pernette. Mon Dicu... | |
 | Pierre Larousse - 1880 - 422 Seiten
...à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Cette répétition énergique se rappelle pour faire entendre qu'on est tout à fait certain d'une... | |
 | Molière - 1882 - 686 Seiten
...à répandre , Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORCON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu !... | |
 | Jean de La Fontaine - 1884 - 544 Seiten
...sorte de hibou. a/j. Même expression dans t'Eunuque, acte V, scène v (tome IV U.-L., p. 93). a5. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Enlèvent un garçon pesant un demi-cent? » L'autre vit où tendoit cette feinte aventure : 75 II... | |
 | Pierre Corneille - 1885 - 336 Seiten
...à répandre ; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu Je l'ai vu, dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu... | |
 | Léonard Sylvain Jules Sandeau - 1885 - 164 Seiten
...is mute, as ' l'héroïne,' etc. 13. ce qui s'appelle vu; lay great stress on 'va'; cf. Tart1t/e— Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? 27. on lui fera un sort. He... | |
 | Jules Sandeau - 1885 - 164 Seiten
...mute, as ' l'héroïne,' etc. 13. ce qui s'appelle vu ; lay great stress on ' vu ' ; cf. Tartuffe— Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? 27. on lui fera un sort. He... | |
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Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu ! le plus souvent, l'apparence déçoit : Il ne faut pas toujours juger sur ce qu'on... 
