DES MATIERE S. V Suite des considérations religieuses. De l'hom 1357 De la création du monde, par le même. 341 Du culte catholique, considéré dans ses rap- ports avec la religion du sentiment. 385 Réponse à diverses questions, relatives au schisme, faites par un Abonné. 407 Proclamation du comité de législation qui fa- cilite de plus en plus le libre exercice des Réponse à un Abonné de la commune de Toul, par qui les églises sont desservies. 430 Fin des considérations religieuses. De la Pro- Détail de ce qui s'est passé à Versailles dans le courant d'avril 1796, relativement à l'arrestation des ecclésiastiques. Page 446 Réflexions adressées au conseil des Anciens, sur le projet de Drulhe, sur la déportation Réponse à plusieurs Abonnés sur le serment de la liberté et de l'égalité. Réfutation de l'Origine de tous les cultes. 481 Lettre à un membre du conseil des Anciens, Littérature, analyse du catéchisme à l'usage DES MATIERE S. vij Premier avis d'un laïque, ci-devant partisan des ministres constitutionnels, à ses freres Fin de la Table du premier volume. Page iaz, ligne derniere, N. 3, Desoge, lisez Desage. Page 123, ligne 8, Guilsemier, lis. Guillamier. Page 128, ligne 2, Consolon, lis. Consolen. - Idem, ligne 12, Dejenes de Justamon, lis. Dejesus de Justamon. Page 302, ligne 22, N°. 7, s'ouvre un éventail, s'ouvre en éventail. lis. Page 434. ligne 25, No. 10, après le mot nature, il faut un point virgule, et le mot suivant ne doit pas commencer par une lettre majuscule. A la seconde ligne de la premiere note, même page, ses enfans, lis. les enfans. Page 439. lig. 3, second alinea de la note, se serment, lis. le serment. Page 441, avant derniere ligne de la note, après le mot falloit, il faut retrancher le mot alors, qui se trouve répété. Page 443, ligne 8, s'écoule, lis. s'écroule. ANNALES RELIGIEUSES, POLITIQUES ET LITTÉRAIRES. INTRODUCTION. C'EST 'EST à la gloire de la Religion et au triomphe des bonnes mœurs que ces Annales sont consacrées. Notre dessein est d'attacher aux vrais principes, non - seulement les hommes naturellement religieux, mais les gens du monde, les philosophes eux-mêmes, en leur montrant la Religion si puissante dans ses moyens, pour faire le bonheur des peuples en général et des citoyens en particulier; et néanmoins si douce, si aimable, si étrangère à tous les fanatismes, qu'ils ne puissent s'empêcher de l'aimer, de la desirer, de voir enfin en elle, ce que les sages de tous les siècles y ont vu, le premier lien des naTome I. Α |